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La saison des GN coïncide bien souvent avec des périodes de grandes chaleurs qui peuvent toucher de nombreuses régions de France. Si certains, notamment dans le sud, ont des réflexes liés aux communications locales annuelles en période de feux de forêts, cela n’empêche pas de rappeler quelques règles de prudence.

 

En effet, avec le changement climatique, l’élévation des températures et la diminution probable des précipitations, le régime des feux risque d’évoluer vers de plus longues saisons et un temps de retour du feu plus court.

 

Quel que soit l'incident, la responsabilité de l'association organisatrice sera engagée. Les moyens préventifs à mettre en œuvre ne sont pas prévus par les textes, ce qui laisse une marge de manœuvre importante, à adapter aux besoins spécifiques de chaque association et de chaque site

 

 

 

I /De quoi est constitué le feu

 

Le feu est une oxydation totale ou partielle et exothermique (dégageant de la chaleur) d’une matière. Il se compose de trois choses: le carburant, le comburant, et l’énergie d’activation. Si l’une de ces trois composante n’est pas présente, il n’y a pas feu.

 

1. Le carburant : C’est la chose qui brûle, l’essence de votre voiture, le bois dans la cheminée...

 

 2. Le comburant : C’est ce qui contient l’oxygène permettant l’oxydation. Généralement c’est l’air, mais certains produits peuvent brûler (comme le phosphore) ou exploser dans l’eau.

 

 3. L’énergie d’activation : C’est ce qui va initier le feu. Dans un moteur diesel, c’est la compression, et la chaleur. Dans un moteur essence, c’est l’étincelle de la bougie. Dans la cheminée, c’est votre allumette. La lumière ou une vibration peuvent suffire à certains produits.

 

 

 

Quels sont les origines du feu et comment se développe-t-il ?

 

Les départs de feu  sont presque toujours localisés à moins de 100m d’un lieu de vie et ont  la plupart du temps pour origine une action d’origine humaine (imprudence, accident, malveillance).

 

L’imprudence est responsable de 5 feux sur 10. Les travaux agricoles et forestiers, les jeux d’enfants et les travaux domestiques sont, avec les mégots et les barbecues, les premières causes d’éclosions. Vient ensuite la malveillance qui représente 39% des incendies. Les accidents (transformateurs électriques, voiture en feu…) se rencontrent aussi.

 

 

 

 

 

Pourquoi les végétaux s’enflamment aussi vite ?

 

En été, les végétaux, à des degrés divers cumulent à la fois une faible teneur en eau, une inflammabilité élevée et un pouvoir calorifique intense.

 

Une grande partie de l’eau contenue dans les tissus de la plante (combustible) est évaporée lors des fortes chaleurs et du manque d’eau prolongé. Finement divisées, les feuilles, en contact intime avec l’air et l’oxygène (comburant), créent un mélange hautement inflammable au contact de hautes températures.

 

En été, certaines plantes comme les herbacées terminent leur cycle de vie, ou comme les pins, perdent leurs aiguilles pour diminuer leur masse foliaire. Autant de “matériaux” secs très combustibles.

 

Dès lors, la chaleur d’un mégot ou d’une étincelle peut débuter la réaction chimique de combustion et accélérer le processus dit de pyrolyse lorsque la plante échauffée par le front de flammes se met à “dégazer” ses terpènes, eux aussi très inflammables.

 

 

 

 

 

Les flammes sont l’ascenseur du feu. Selon le schéma habituel, un feu de broussaille débute le plus souvent dans la strate herbacée. Il prend de l’ampleur au contact de la broussaille et des arbustes. Les flammes atteignent facilement les branches basses des arbres puis le feuillage des arbres les plus hauts. Elles transmettent également la  chaleur et les fortes températures par rayonnement à l’avant du front du feu.

 

 

 

Les fumées sont toxiques et elles arrivent bien avant les flammes. Elles désorientent très vite et peut rapidement causer des malaises et des asphyxies graves.

 

Le feu « court » plus vite qu’un randonneur. Sa vitesse de propagation peut dépasser les 5km/h avec des accélérations rapides en fonction du relief. Dans ce cas l’incendie mettra moins de 5 minutes pour parcourir 400m.

 

 

 

II/ La prévention

 

Vous l’aurez compris, en GN, le risque de départ de feu n’est pas négligeable, particulièrement en extérieur et en période estivale. Il convient donc de prendre des précautions afin de prévenir le risque et de réagir au mieux en cas de départ de feu.

 

Dans un premier temps, il faut évaluer les risques. Certes, prévoir l’imprévu, reste impoossible. Cependant il faut retenir que nous craignons la chaleur, les explosions, les projections, et les gaz.

 

 

 

La chaleur

 

Protégez tout ce qui peut craindre, éloignez les objets des sources de chaleur.

 

La chaleur a trois modes de propagation: la convection, la conduction, et la radiation.

 

 

 

(1) Propagation par la conduction

 

La chaleur se transmet dans le matériau, exemple: tenez un trombone déplié dans une flamme... Quand ça brûle les doigts, c’est que le métal du trombone à transmis la chaleur par conduction.

 

(2) Propagation par radiation

 

C’est le rayonnement direct d’une flamme ou d’une résistance. Exemple: comme ci-dessus mais sans le trombone. Quand ça brûle les doigts... c’est que vous avez reçu la radiation de chaleur dans les doigts.

 

(3) propagation par convection

 

La convection thermique est spécifique aux fluides (liquide, gaz, air), ainsi qu’aux éléments déformables (comme les roches à hautes pressions dans le manteau terrestre), elle est liée au mouvement du fluide, donc à un transport de matière. L’état fluide regroupe l’état gazeux et l’état liquide qui ont la faculté d’être déformables. Ils s’adaptent à la forme du récipient offert, et peuvent s’écouler. Exemple de convection:

 

Lorsque que l’on met ses mains au-dessus d’un feu de cheminée (ou de barbecue), on ressent de l’air chaud, en effet celui-ci est produit par convection. En effet, la convection se fait grâce aux molécules d’air (dioxygène, diazote), qui se trouvent au-dessus du feu (ou d’une plaque chauffante) ; ces molécules montent vers le haut, où il fait plus froid (lors de leur montée, elles entrent en contact avec la main, d’où la sensation de chaleur). Lorsqu’on souffle sur une cuillerée de soupe brûlante, elle refroidit plus vite (les molécules du fluide chaud sont remplacées par de nouvelles molécules à plus basse température).

Les explosions

 

Petite anecdote réelle: sur le tournage d’un western, le réalisateur fait attendre la prise. Tout était prêt pour l’attaque de la diligence. Les indiens sont sensés tirer des flèches enflammées. Pour qu’elles prennent bien, on les a imbibées d’essence. Moteur, ça tourne, mais on a trop attendu, l’essence s’est dispersé trop volatile, la prise est spectaculaire, mais deux personnes étaient dans le “whouuff”.

 

Il faut se méfier de tout ce qui peut être volatile, les gaz comme les poudres apparemment “ inoffensives ”, les carburants liquides.

 

 

 

Les projections

 

Une autre anecdote: Réception au château de La Motte Tilly, la duchesse pestant contre les rigueurs du temps, se presse contre la cheminée. Elle se réchauffe, le feu crépite, et une simple escarbille fini sa course sur sa magnifique robe à crinoline. On panique, on s’affole, mais rien n’éteint les flammes…

 

Parfois dans les explosions, de petits projectiles enflammés ou incandescents peuvent être très dangereux. C’ets d’ailleurs l’un des modes de propagation des feux de forêts.

 

 

 

Les gaz

 

Dans les incendies, la plus grande menace et cause de la perte de connaissance, sont les gaz. Certaines matières ont d’ailleurs la désagréable idée de se décomposer en matériaux très dangereux. Ainsi le Polyuréthane forme dans sa combustion un gaz à base de cyanure.

 

S’il y a peu de risques en extérieur (bien que les fumées d’un feu de forêt soient toxiques), il peut être dangereux par exemple de dormir à côté d’un feu, si les fumées viennent vers vous. Dans un espace confiné, les fumées et gaz peuvent se révéler rapidement dangereux. C’est pour cela que la FédéGN met à disposition de ses associations membres deux détecteurs de monoxydes de carbone

 

Il est fortement déconseillé de faire de feu, d’utiliser des équipements pyrotechniques ou de faire tourner un engin motorisé dans un espace mal ventilé.

 

 

 

III/ Que faire avant votre GN

 

 

 

1/ renseignez-vous sur les règles administratives locales

 

La première chose à faire est de vérifier sur le site de la préfecture du département ou vous organisez votre jeu si un arrêté spécifique au sujet des feux existe. Cet arrêté précisera les règles en la matière, les dates et les lieux d’application. Si un tel arrêté existe, faites en part à vos participants de façon à leur éviter d’amener du matériel inutile. Tenez en également compte dans votre organisation et notamment proscrivez les effets pyrotechniques.

 

Le risque est particulièrement aggravé Les éclairages à flemme ouverte s’il y a du vent.

 

De ce fait interdisez :

 

- Les feux de camp au sol ou hors sol.
- Les barbecues, brasero, bougies posées au sol…

 

- Les fumigènes et autres effets pyrotechniques

 

- les éclairages à flammes ouvertes (Torches, bougies..)

 

- les spectacles de feu

 

 

 

L’utilisation des réchauds à gaz peut également présenter des risques. Faites en sorte que la zone d’utilisation soit nettoyée et qu’un moyen adapté à l’extinction d’un départ de feu soit à proximité.

 

L’une des causes de départ de feu étant le mégot de cigarette, communiquez fortement en direction des joueurs fumeurs. D’autant qu’au-delà du risque de feu, le jet de mégot a un caractère fortement polluant. Pour les fumeurs qui mettent leurs mégots dans une boite adaptée, veillez à ce que ceux-ci soient bien éteints avant de les mettre la poubelle. De telles boites peuvent être très esthétiques et ne pas couter grand-chose.

 

 

 

Tous ces éléments peuvent être signalés avant le jeu, mais aussi lors du briefing qui rappellera les règles spécifiques  en fonction des risques. (Préventions, précautions, alertes, points de rassemblements etc..)

 

 

 

2/ Identifiez les risques potentiels sur le site

 

La seconde chose à faire est d’identifier les risques potentiels afin de mettre en place une sécurisation adaptée, et ce dès le repérage,en coordination avec le propriétaire.

 

 

 

3/ Informez joueurs et organisateurs

 

La troisième chose sera de briefer vos organisateurs et vos joueurs

 

Si une sensibilisation des joueurs doit avoir lieu lors du briefing, il est important d’anticiper en fonction du risque identifié en communiquant sur le sujet avant le jeu.  Le feu fait partie des dangers. Il faut rappeler les règles de sécurité concernant ce danger.

 

 

 

 

 

IV Comment réagir en cas de feu

 

Tous les témoignages le confirment, le feu arrive souvent plus vite qu’on ne le croit. Il génère alors peur et angoisse quand il ne provoque pas des crises de panique. Garder votre calme sera plus facile si vous avez bien anticipé la situation. Si vous êtes sur une zone à risque, n’hésitez pas à anticiper en prévoyant les points de rassemblement, les cheminements d’évacuation.

 

Prévoyez également des équipements (extincteurs, points d’eau) pour prendre en compte rapidement un départ de feu avant que celui-ci ne prenne des proportions ingérable, particulièrement sur les zones à risque.

 

 

 

Pour une protection personnelle, un tissu (en fibre naturelle uniquement) imbibé d’eau peut faire l’affaire. Il existe aussi une poudre “Water Jel”, mélangée, à de l’eau, qui résiste bien à la chaleur, et on peut aussi l’utiliser pour traiter une brûlure. On la trouve chez les équipementiers en protection personnelle (vendeurs de casques, boite à pharmacie...) et chez les grossistes en chimie (Prolabo, Merck-Clevenot...) Couverture et compresses sont très chères environ 100€.

 

 

 

Il faut aussi tenir compte que les fumées montent, donc plus vous êtes bas, moins vous serez impacté.

 

 

 

1/ L’extinction

 

 

 

Pour éteindre un feu, il faut deux choses: lui supprimer le carburant, ou le comburant, et l’empêcher de repartir. Tous les feux ne se valent pas, et on en distingue différentes sortes en fonction de ce qui brûle, et de leur origine. On trouve d’ailleurs différents type d’extincteurs: poudre, eau et additifs, dioxyde de carbone.

 

Sur chaque extincteur est marqué le type de feu concerné et la façon de l’utiliser. Sachez toutefois qu’il ne convient pas d’attaquer un feu d’origine électrique avec de l’eau, et encore moins sans avoir coupé au préalable le courant électrique. De même pour éteindre un feu d’huile ou d’hydrocarbure avec de l’eau nécessite une certaine technique, quand ce n’est pas impossible. Il vaut mieux privilégier un linge mouillé quand le feu est limité.

 

Les extincteurs peuvent être loués, mais à l’achat valent entre 100 et 200 €, ils doivent être ré éprouvés chaque année.

 

Attention: ne vous improvisez pas sapeurs-pompiers ; prévenez les services compétents au plus vite avant que le feu ne prenne trop d’ampleur. Ne vous laissez pas berner par les films américains ou le héros part seul dans la fournaise avec un petit extincteur de 6 kilo pour sauver le bébé de sa voisine... A priori il aura une autonomie de 20 peut être 40 secondes... Avis aux amateurs.

 

 2/ Protéger , Alerter, Secourir

 

 Tous ceux qui ont entendus parler de secourisme connaissent cette séquence, qui est l’ordre logique d’intervention en cas d’accident. Elle est naturellement extensible à notre sujet.

 

 

a) Protéger

 

 Si vous prévoyez un effet pyrotechnique, ayez préparé le nécessaire, bac ou seau d’eau, éventuellement de sable pour asperger ou immerger ce qui peut poser problème. Identifiez tous les éléments de votre environnement: arbre, herbe sèche, tissus, milieu fermé, source électrique...

 

Pour vos vêtements évitez tous les tissus synthétiques, et évitez d’intervenir près de sac de couchage. En effet, ces matériaux fondent et collent, le risque est surtout l’asphyxie.

 

 

 

Il est possible de badigeonner des tissus avec des solutions ignifuges, limitant le cas échéant la propagation des flammes. (Genre cristaux à diluer dans l’eau et à asperger sur les tissus)

 

Vous pouvez identifier parmi vos organisateurs les personnes ayant des compétences en la matière (sapeurs-pompiers)

 

L’équipe d’organisateurs doit savoir où se trouve le matériel de secours, connaître les lieux et ses dangers. Il lui revient également de vérifier s’il y a un arrêté préfectoral qui interdit le feu au moment du GN. (C'est systématique dans le sud de la France en été mais cela peut arriver dans d'autres régions)

 

 

b) Alerter

 

Avant un GN il est de rigueur de prévenir les services de secours. Il est indispensable d’avoir au PC orga un téléphone chargé avec les n° de téléphones des services de secours a portée de main. Ils sont censés être connus, mais en cas de coup de panique, un rappel n’est pas inutile.

 

 

 

Obtenez les coordonnées GPS et DFCI c’est-à-dire les informations utilisées par les sapeurs-pompiers pour localiser un feu, un point sensible ou une destination. Il existe plusieurs applications sur smartphone qui permettent d’obtenir ces informations. Ainsi, vous pouvez  afficher le carroyage DFCI disponible sur l'ensemble du territoire en 20x20km et 2x2km.Ce carroyage norme et quadrille le territoire en secteurs géographiques. Ce système de coordonnée est la référence sur laquelle se basent les acteurs de sécurité civile. Ces coordonnées peuvent vous être très utiles d’ailleurs dans le cadre de la préparation du jeu.

 

 

 

Envoyez des bénévoles guider les secours à l’entrée du site de jeu. N’hésitez pas a affichez votre position GPS et DFCI pour alerter les secours rapidement en cas d'urgence.

 

 

 

 

 

 

 

c) Secourir

 

 

 

Prévoyez un itinéraire d’urgence ou les véhicules des joueurs ne bloqueront pas la circulation pour permettre une intervention rapide des secours ou une évacuation en urgence du site.  

 

 

 

IV La classification des feux

 

 

 

Classe A : Feux de solides, principalement d'origine organique. Combustibles : Bois, Papier, Carton, Charbon, Végétaux, Textiles naturels 

 

Moyen d'extinction : Eau (avec ou sans additif), Poudre, Mousse. 

 

Classe B :Feux causés par la combustion de liquides ou de matériaux liquéfiables. Combustibles (par exemple) : pétroles, benzène, éthers, cétones, solvants, kérosène, essence, white-spirit, gasoil, matière plastique, caoutchouc...

 

Moyen d'extinction : Dioxyde de carbone, Poudre, Eau (avec ou sans additif). 

 

Classe C :Feux de gaz. Combustibles : Gaz de ville, Butane, Propane, Méthane, etc. 

 

Moyen d'extinction : Dioxyde de carbone, Poudre. 

 

Classe D :Feux de métaux. Combustibles : Aluminium, magnésium, lithium, sodium, potassium, etc. 

 

Moyen d'extinction : Poudres et liquides spéciaux, sable sec, ciment 

 

Classe F : Feux liés aux auxiliaires de cuisson sur les appareils de cuisson. Combustibles : Huiles végétales et animales, graisses végétales et animales, etc. 

 

Moyen d'extinction : Poudre par projection horizontale, Couvertures anti-feu, Mousse physique par projection horizontale.

 

  

 

V Les Extincteurs

 

 

 

Les extincteurs à poudre sèche conviennent à la plupart des feux( Classe A, B et C ).Ils sont surtout conseillés pour les feux de liquides et de vapeurs inflammables. 

 

Les couvertures anti-feu permettent d'étouffer les départs d'incendie dans la cuisine ou de couvrir une personne dont les vêtements ont pris feu. 

 

  

 

 

 

 

 

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